• ou les extravagances artistiques d' Anish Kapoor au Grand Palais : une exposition qui fait partie de Monumenta. Difficile de décrire ces gigantesques bulles de toile tendue sous atmosphère pressurisée. Tout d'abord, vous entrez dans le ventre du Leviathan, ambiance sourde ; les ombres de la grande verrière apparaissent sur fond de couleur rouge, une couleur mouvante selon l'heure de la journée et l'ensoleillement. Anish Kapoor souhaitait que le visiteur, tout enfermé qu'il soit, ait l'impression de se trouver à l'extérieur : c'est effectivement l'impression que l'on peut avoir en observant ces ombres déformées par les rondeurs du Leviathan.
    Une fois sorti du monstre, le visiteur en fait le tour. Comme j'étais avec mon amie Véro, nous ne nous sommes pas privées de faire mille commentaires et quelques comparaisons ; celle de la molécule me vient maintenant à l'esprit. Pour ma part, je me suis sentie un peu en dehors du monde, happée sans m'en rendre immédiatement compte.
    Sans toi Véro, je ne serais sans doute pas venue et je suis bien contente de cette expérience sensorielle et méditative.

    Et à la sortie, changement de style, avec une petite chez Aston Martin, une séance de shopping sur les Champs et une visite chez Lamborghini !

    Leur dernier modèle me fait succomber...et pour répondre tout de suite à The question qui va m'être posée par un certain Antoine : oui, je l'ai touchée !

     

     

     

     


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  • L'événement est européen et conserne également Bucarest... d'où j'ai décollé ce matin. Pour cette nuit des musées, j'étais donc avec Marie-Hélène à Paris et nous avons choisi le musée des Arts et Métiers, un endroit extraordinaire. Du célèbre Pendule de Foucault à l'aéroplane de Clément Ader, des vélos antiques au premier véhicule à vapeur, du laboratoire de Lavoisier au robot destiné aux explorations extraterrestres, de la lanterne magique aux premiers appareils photos et phonographes, en passant par le miroir de Buffon, la machine à calculer de Pascal, la chlepsydre, les maquettes de sites industriels, de charpentes, les Gallé, les métiers à tisser, les premiers calculateurs (énormes ordinateurs)... Et quand on y voit le téléphone et le minitel exposé, on prend un coup de vieux ! Enfin, on y trouve aussi l'Ipod et une maquette du TGV !

    Un endroit encore plus inouï quand on se promène entre ses boiseries éclairées à la nuit tombante.

     

     


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  • Le nombre de "pagodes" sur le toit des maisons indique le nombre d'enfants dans la famille.


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  • Les Tziganes vivent regroupés dans des villages où certains d'entre eux ont fait construire d'impressionnantes demeures. Ici, les façades sont recouvertes de mosaïques et de miroirs.

    Généralement, la vie familiale s'organise dans une partie plus modeste de la construction, située sur l'arrière, l'ensemble de la maison étant plutôt utilisé pour loger la famille et les amis.

     

     

     


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  • Cet article n'en est pas vraiment un. Je souhaite juste attirer votre attention sur le formidable témoignage que nous livre Randu, en commentaire à mon article "week-end à Bucarest"

    Merci beaucoup Randu. C'est bien volontiers que j'en écouterais davantage de votre part. Vous pouvez me laisser vos ccordonnées dans le module "contact", dans la partie "rubriques".


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