• Excellente, notamment grâce à ce beau soleil. Je crois que les manteaux resteront à la maison aujourd'hui. Au programme ce matin : distribution de photos au marché...je vous raconterai.


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  • Hier, nous étions quelques courageux (il faut bien s'auto-congratuler) marcheurs à profiter de cette magnifique journée pour aller en forêt, devinez où ? De l’autre côté du Danube bien sûr. Les crêtes des collines évoquées lors d’un précédent billet devenaient notre objectif.
    8 heures 30 : je fais l’ouverture du supermarché (la sortie a été décidée hier soir, au restaurant).
    9H15 : courses déballées, je prépare un cake pour le pique-nique. Pendant la cuisson, confection des casse-croûte et préparation des sacs.
    10H40 : le temps d’emballer le cake encore chaud et nous voilà partis.
    11H00 : tout le monde se retrouve à l’embarcadère et nous embarquons.
    Une bonne demi-heure de route plus tard, nous commençons notre marche sur un sentier très sec. La forêt se compose de chênes de quelques hêtres je crois (mais je suis une bien piètre botaniste), de quelques acacias. Les arbres dénudés s’élancent avec élégance, l’espace est très aéré et lumineux. Il faisait 20° au départ. Nous sommes parfois surpris par une étendue de verdure très jolie, où l’on imaginerait surgir quelque nymphe (celle du ruisseau qui serpente en contrebas bien sûr). Quant aux ours, d'aucune a bien essayé de nous faire peur, mais ce n’est pas l’endroit ! Ici, nous croisons un pic-vert, un chien, puis un troupeau de biquettes et de moutons et leur adorable chien de berger blanc. Oui, en pleine forêt !
    Dans la forêt, nous avons aussi  trouvé une sorte de wagon transformé en caravane et des toilettes sur une aire où l’on peut planter sa tente.
    Un peu d’escalade pour terminer l’ascension (juste pour s’installer sur les rochers) et déjeuner sur les crêtes...la chanson de l’apéro tournait déjà dans les têtes depuis quelques (longues) minutes. Le petit vin blanc était très bon (merci à qui de droit) et, ma fois, le petit rouge qui a suivi n’était pas désagréable non plus.
    La descente fut un peu plus mouvementée : inaugurant un nouvel itinéraire, on finit toujours par «couper» quelque part. Et là, plus de chemin, des ronces des herbes hautes, de la glaise par endroit, le passage du gué encaissé. Ah messieurs, nous nous rappellerons votre prévenance et vos mains tendues !
    Finalement, malgré un balisage plus qu’incertain (vous avez lu mon billet « à la roumaine» ? ), nous avons retrouvé le sentier du retour dans le délai initialement prévu.
    Au retour, sur le bac, au soleil couchant, nous avons été survolés par de gigantesques nuées d'oiseaux en partance.  Magnifique !


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  • Voici comme promis l' album de ce que l'on peut voir en quittant la ville, après avoir traversé le Danube. 


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  • Quand on traverse le Danube à Galati, on se retrouve en pleine campagne.On traverse des villages typiques, où hommes et femmes, formant des groupes distincts devant les maisons, occupent leur après-midi à papoter au soleil. Puis s'étale une lande percée de belles étendues d'eau et de canaux ; à travers les roseaux, on voit des oiseaux migrateurs qui se reposent. Quelques collines dessinent l'horizon. De belles sorties en perspective !

    Bientôt des photos, le temps de préparer un album !


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  • Soirée franco-roumaine bien agréable hier, à l'initiative de Dorina, de la bibliothèque Eugène Ionesco, dont je vous ferai bientôt une petite présentation. Nous avons regardé le film de Jean Becker, La Tête en friche, dialogue de Jean-loup Dabadie...une jolie bulle de tendresse où Depardieu excelle.
    Cette soirée fut l'occasion de nouvelles rencontres, notamment avec une jeune femme professeur de français ici. Et pour clore la soirée, un restaurant ensemble, lieu où se dessinent les nouveaux projets, comme chacun sait !


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