• Le parking du supermarché m'a toujours surprise : vaste et toujours aux trois quarts vide, excepté le dimanche matin. Pourtant hier et avant-hier, archi plein, les gens se seraient roulés dessus, pour aller n'acheter que des bouteilles ou un monceau de papier hygiénique ! Dans le cash and carry où je fais les courses, les professionnels étaient assez nombreux aussi ; je n'ai pas trouvé le tiers de ce que j'espérais trouver  (arghhh ! ) : plus de pain de mie ordinaire, plus de ce qui ressemble le plus à notre jambon blanc, plus de jambon italien ou espagnol, pas de fenouil, de tomates cerises, de courgettes, d'endives, de haricots frais, de bons avocats , de fruits de la passion (heureusement j'ai pu sauver quatre ananas Victoria); plus de ce fameux saumon fumé, mais c'est normal, je voyais  la caisse se vider depuis 3 semaines et j'avais acheté le dernier beau morceau pour Noël ; il restait bien des crevettes pêchées avant Noël et une bourriche d'huîtres bretonnes que je vois là depuis ... (je n'ose pas le dire !) ce qui m'a agacée, ce sont tous les chariots élévateurs dans les allées, les caisses de produits en plein passage...mais des rayons néanmoins dévastés ! C'est ce jour-là précisément qu'avaient lieu les modifications du rayon fruits et légumes (enfin, de ce qu'il en restait). Ici, on n'anticipe jamais et l'organisation reste un terme égaré entre les pages du dictionnaire ; à l'arrivée et à la veille du réveillon, c'est donc le grand bazar partout, d'autant plus que le 31, la vie s'arrête tôt dans l'après-midi ; les transports en commun cessent de circuler, tout le monde rentre pour préparer la fête...
    Bonne soirée à tous, amusez-vous bien et à l'année prochaine !


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  • Après la douceur et le beau temps de ces derniers jours, la neige fait son grand retour et le froid s'annonce plus persistant. De quoi réjouir toute la tribu, qui s'est agrandie de trois invités-surprise venus de Reims. Marie-Hélène a fait une de ces têtes en les voyant, installés dans le salon, alors que nous rentrions de promenade. Inutile de vous dire que l'ambiance est plutôt joyeuse ! Nous avons fait les courses ensemble ; dommage que nous n'avions pas de quoi photographier le chariot...et une pensée pour toutes les mamans de familles très nombreuses qui vivent ça au quotidien.


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  • Je ne résiste pas au plaisir de vous faire partager ces quelques photos prises fin novembre à Paris, avec une petite pensée pour les copines "modasses"...


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  • Au cours de notre petite promenade d'hier, mon cher et tendre a photographié les gouttières dont je vous parlais il y a peu...

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  • JOYEUX NOËL à tous !

    Ici, on n'a pas l'impression d'être le 25 décembre, tant il fait doux. Nous rentrons d'une promenade au parc, où les familles sont de sortie pour profiter du soleil.
    Nous n'oublierons pas de sitôt notre premier Noël roumain. Au bout de 2 jours à préparer gâteaux et repas, j'en ai eu assez et j'ai suggéré d'aller manger dehors. QUOIIIIII ???? Le soir du Réveillon de Noël !!!!!!!!!
    OUI ! Puisqu'ici le réveillon du 24 n'existe pas, soyons roumain ; fi de la dinde ! Papi et mamie en voiture et au restaurant. Nous arrivons dans un établissement traditionnel où la musique est bien sûr trop forte ; un clavier, un violon et un accordéon accompagnent des chanteurs, on a du mal à s'entendre...Bon, il faut commencer par traduire la carte aux grands-parents et passer commande. Une étape de franchie ! Mais voici la serveuse qui revient nous annoncer, un bon quart d'heure plus tard, que le restaurant ne peut nous servir le chevreuil, le sanglier, l'agneau choisis. Et on recommence à éplucher la carte, au rythme des "nu avem" de la serveuse. Finalement, le poulet grillé fera l'affaire. Mais quand le mien arrive,  il est encore tout congelé. Allez, je n'ai pas faim, on rit un bon coup et on écoute la voix éraillée du chanteur.  De retour à la maison, on apprécie quand-même un bon dessert autour d'une jolie table de Noël.
    Aujourd'hui, la tradition est sauve, avec le saumon fumé, l'ours et la bûche. Lorraine jubile, pour une fois que nous sommes dans un pays où elle ne voit ni foie gras, ni huîtres, ni homard (pourtant c'est bien de notre fille qu'il s'agit). Le dessert a été l'occasion d'un moment de convivialité avec des amis roumains. Nous avons pu déguster ensemble un superbe et très bon Cozonac qui nous a été offert, à côté des sablés et des kipflers alsaciens, de la bûche maison (puisqu'ici on ne connaît pas cette tradition) et du fondant au chocolat de Lorraine. La petite fille s'est beaucoup amusée avec les multiples décors de Noël à déposer sur les pâtisseries. C'est Noël !


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