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    Eh oui, c'est la surprise quand on lance sa première machine. J'étais pourtant très contente d'avoir trouvé une marque familière de lessive, liquide qui plus est, dans des linéaires essentiellement chargés de lessive en poudre. Lorsque j'ai vu la quantité de mousse derrière le hublot, je me suis dit que, dans le meilleur des cas, la machine aller sonner et clignoter de partout, ou que j'aurais droit à la vidange forcée voire au débordement. Rien de tout ça. Ouf ! mais plan d'attaque pour la prochaine fois: je vérifie le dosage - correct -, je le diminue néanmoins et rebelote ... mais aux mêmes causes les mêmes effets. 

    Alors, pas bête la frenchy, je fais le rapprochement avec la femme de ménage capable de vider un demi flacon de liquide vaisselle pour trois assiettes et une casserole : faut qu'ça mousse.

     Formule spéciale adaptée aux attentes du pays, la marque me l'a confirmé lors d'un échange de courriel (si si, j'ai autre chose à faire).

    Et pour ceux que la lessive roumaine intéresse vraiment, on trouve aussi une autre marque très connue, dont la mousse sait se faire plus discrète.



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    Les motifs seront plus jolis un peu plus loin mais je ne sais pas si j'aurai le temps d'arriver à temps pour la photo !


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  • Il s'agit de la brioche traditionnelle des roumains, présente à toutes les fêtes. Fourrée aux noix et aux raisins, parfumée au rhum et aux zestes de citron, c'est avant même de la déguster un plaisir pour les yeux : la garniture est roulée dans des boudins de pâte qui sont ensuite tressés.

    Bien sûr les parfums et les formes varient. Comme mon petit James Bond n'a pas apprécié le rhum la dernière fois, je n'en ai pas mis aujourd'hui et j'ai fourré l'un des boudins de chocolat au lait.

    Le plus long fut d'ouvrir les noix (du jardin bien sûr) et de les piler (au pilon, on garde une consistance bien meilleure qu'au mixer qui forme une pâte de noix huileuse). Cela me fait penser qu'au marché, les cerneaux de noix forment de jolies pyramides sur les étals.

    J'ai donc passé l'après-midi dans les casseroles, entre les lasagnes de ce soir et les tresses de cozonac pour le petit déjeuner. Mes mains sont toutes douces car je les ai enduites de beurre pour manipuler la pâte tiède et parfumée...hummm, vivement demain matin !


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  • Trouver un cortège d'enterrement sur son chemin risque d'entraîner un peu de retard...Une file de voitures, foulard accroché au rétro, roule au pas derrière un corbillard, un break fleuri, dont le haillon grand ouvert laisse apparaître le cercueil grand ouvert, qui ne sera fermé qu'à l'arrivée au cimetière. Très surprenant la première fois, de voir un corps ainsi exposé à tous les regards. Le rapport à la mort semble bien différent par rapport à chez nous ; plusieurs rites et superstitions confèrent au deuil une importance particulière, sans que l'on ressente cette sorte de tabou de la mort. 

    C'est ainsi que l'autre jour, au marché, entre les carottes et les tas de graines (maïs, haricots secs, graines de tournesol), je vois de petits sachets contenant quelque chose ressemblant à de la terre et à de petits cailloux ou morceaux de bois. Je demande si ça se mange et ce qu'on en fait ; éclats de rire de la vendeuse qui m'explique qu'il s'agit là de terre à répandre sur les tombes. 

    Quant aux boutiques de pompes funèbres, vous les trouvez sous formes de petites échoppes en plein trottoir ; à travers les vitrines, en passant à côté, vous pouvez voir tout l'assortiment de cercueils. J'ai trouvé cela très surprenant. 


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